vendredi 22 janvier 2010

Problème métaphysico-scribouillard

Dans n'importe quelle nouvelle ou n'importe quel truc que l'on écrit et que l'on veut un peu soigner, se pose le problème des versions. Il est très rare, et pardon de démolir un mythe rendu incontournable par le cinéma ou les séries, qu'un écrivain ponde le roman de sa vie en une fois, comme ça, sans rature ou recours frénétique à la touche effacer. Il suffit de voir l'expo virtuelle de la BNF sur ce thème précis.
Pour mon modeste cas, La Main dans la boîte, première histoire close de l'année 2010, en est à sa sixième version, celle que je publie étant la version deux ou trois. Je vais donc l'enlever pour proposer la toute dernière version, qui élague beaucoup mais se tient en somme.

EDIT : Quelques noms changent : Scarlett Burgess remplace Meredith Faulkner dans le rôle de la fille mystérieuse à la main coupée.

De toute façon, cette 5 ème version déchire par rapport aux autres donc je ne culpabilise pas. Pas le moins du monde. Pardon à toi ma ptite Lem qui a religieusement lu les trois premiers posts.

2 commentaires:

  1. Et rien pour les pauvres péquins angevins qui se payent toutes les versions?

    Un pauvre péquin angevin que ça occupe en cours (et pour la der version: t'as trouvé ton "truc", reste à enrichir ;) )

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  2. c'est pas grave! du moment que j'ai de quoi lire qui vient de ta plume, moi j'te pardonne tout! ^^

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